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Aujourd’hui le monde commence à comprendre que l’agroalimentaire est tenu par des hobbies et le pouvoir de l’argent écrase tous les alternatifs qui s’insurgent depuis des dizaines d’années comme le docteur Kousmine ou le docteur Poinsignon ou David Servan Shreiber des personnes que vous devez connaitre. Il ya trop de médecins qu’on éloigne de leur vie professionnel parce qu’ils osent parler et dénoncer les abus des lobbies qui nous à notre santé. Le professeur Joyeux chirurgien cancérologue de Montpellier en fait partie.Et si au lieu de chercher des groupes pour manifester son mécontentement, nous agissions dans notre vie tout d’abord?
Notre fonctionnement de base est d’avoir de l’argent et ensuite d’être reconnu dans une tribu. Le temps est venu de passe à l’étape d’être bien dans notre corps?
Une cuisine saine et zen
C’est en partageant la vie d’un chéri il y a très longtemps 15 ans que j’ai eu la chance dans une malchance de devenir plus consciente et responsable de ce que je mettais dans ma bouche et mon estomac.
Sa fille avait un problème d’obésité et était pris en charge par un centre nutritionnel pour enfant.
Nous étions convié en tant que parents ou conjoint à venir assister à des conférences sur l’alimentation. Selon les médecins à l’époque, la source du problèmes de l’obésité dans le monde vient de notre surconsommation de sucre, de sel et de graisse. Nous achetons en masse des produits conditionnés, congelés, remplie de conservateurs, de produits chimiques….
Je me souviens d’une fois où les docteurs nous avez incité à lire les étiquettes des produits surgelé ou ceux placés dans les rayons traiteurs comme les salades de carottes par exemple ou les sachets de légumes en ratatouille. C’était effarent. Sucre, graisse sel et autres ajouts conservateurs et autre…
Je me souviens aussi il y a 10 ans de conférences de France Guillain qui disait qu’il y avait un sérieux problème sur la des décomposition des corps humains qui contenants trop de conservateurs, ne se désagrégeait plus. Même après une dizaine d’années en terre notre corps rejetait dans la terre des produits liquides toxiques venu de nos médicaments mais aussi des pesticides et conservateurs en tous genre que nous avions consommés.
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J’ai changé ma manière de cuisiner en finissant mal digérer les produits laitiers, les protéines animales ou le gl ten.Je me réjouis aujourd’hui parce que cela veut dire que mon corps me réclame des produits naturels et non modifié génétiquement. Et comme je ne suis pas un petit veau ni une grosse vache;0) et que je ne vis pas de carences alimentaire puisque qu’il n’ y a plus de guerre ou de disette, je n’ai aucun intérêt à consommer des produits laitiers, adulte.
Des produits biologiques
Alors c’est vrai je consomme de plus en plus de produits bio. J’achète chez les paysans locaux dès que je le peux, je ne consomme plus de produit raffinés, je réintroduis les légumineuses à petites doses dans mon alimentation ou les graines germées et je privilégie les legumes et fruits de saisons, la viandes blanches, les poissons quand je suis en bord de mer ou a l’étranger comme a Bali. J’évite de plus en plus de manger dans les restaurant à Paris, je ne consomme plus de gâteaux dans une boulangerie ou des gâteaux d’apéritif de supermarché… Je remplace tous ces substitus par du naturel.
S’entourer d’amis sains
A force d’entendre toutes ces informations, au fil des ans et d’être entourées d’amis végétarien, bio, gourmands et de belles des champs, je me suis remise à cuisiner en changeant petit a petit ma nourriture.
Alors j’ai décidé de partager avec vous mes recette saines et zen.
Avec de bons produits et rapides à préparer.
Je suis une fille de la campagne, j’avais la chance d’avoir des parents qui cultivaient leur légumes et qui avaient sous la main bon nombre de plantes aromatiques (thym, romarin, sauge, sariette fine herbe, persil, menthe…).
J’ai mangé des produits frais et de saisons jusqu’à mes 20 ans avant d’arriver à Paris.
La bonne nouvelle de cuisiner soi-même?
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En faisant à manger soi même, on choisit ses produit et on cuisine ce que l’on aime. Je me souviens de la cuisine de ma mère. Elle cuisinait des plats riches certes, mais c’était gouteux, suaves et parfumés. Elle utilisait des aromates, des épices et beaucoup d’ail d’oignons ou d’échalotes.Quand on cuisine et qu’on aime manger, on offre aux gens qu’on aime aux palais délicats et gourmands des recette faites avec amour pour le plus grand plaisir des papilles…
Quand on cuisine, on sait ce qu’on met dans nos réfrigérateurs, dans nos casseroles, dans nos assiettes et dans notre ventre. On devient responsable de sa santé. En observant les étiquettes, en gouttant les yeux ouverts les produits tout prêt, on fait la différence. Au bout de quelques semaines seulement, notre corps aussi reconnait un bon produit pour qu’un artificiel à la digestion.
Alors je commence à partager mes recettes avec vous, parce que depuis 5 ans, je digère en paix ma nourriture à nouveau, comme lorsque j’étais adolescente.
Pour trouver des recettes saines et zen
Allez vous informer:
American Journal of Clinical Nutrition, Vol. 80, No. 5, 1246-1253, November 2004
© 2004 American Society for Clinical Nutrition