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Compteur Linky, informez-vous


https://youtu.be/QBN51tDiyQo

https://www.youtube.com/watch?v=QHkOdoDx-0c

A partir de la minute 18.30, j’en ai pleuré. Maintenant comment faire puisque ces compteurs vont nous être imposés?

Pour moi, il n’y a qu’un travail énergétique quotidien qui peut nous aider. Sinon de prier pour ne pas être trop malades…
Plus d’infos:
http://www.santepublique-editions.fr/

M comme Maladie

maladieDurant les quatre premières années de mon activité de relaxologue, j’ai traversé des maladies d’une violence physique assez inhumaine. J’ai eu des visions de torture issues de vies anciennes. J’ai compris ce que voulait dire « avoir mal à se taper la tête contre les murs ». J’ai même essayé, dans l’espoir de moins souffrir. Avec le recul, je sais que l’Univers me proposait alors un training sur la source de la maladie.

La dernière a été une uvéite. En vingt-quatre heures, je me suis retrouvée cloîtrée, dans le noir, les yeux fermés pendant plusieurs jours. Cela s’est passé quinze jours avant mes congés annuels en tant que libérale, congés que j’osais prendre enfin au bout de dix ans d’activité. J’avais décidé, pour la première fois, de lâcher prise sur mon travail et de partir trois semaines.

Au commencement, le premier soir, je ne pouvais rester sans lunettes de soleil. La lumière de la télévision me faisait pleurer. Le lendemain matin, au réveil, j’avais les yeux tout rouges, débordants de larmes qui coulaient sans interruption le long de mes joues.

Ma première réaction fut de me dire que cela ne m’empêcherait pas de travailler pendant les deux semaines surchargées de rendez-vous que j’avais pris avant ce grand départ estival. C’était sans compter sur la rapidité de l’aggravation de la situation. Me voyant ainsi, mon ami (chez qui j’avais heureusement passé la soirée, en banlieue parisienne) refusait de me laisser partir prendre le train et voulait me conduire  immédiatement aux urgences. J’avais vu mon généraliste la veille au matin, par hasard, pour tout autre chose. Ce médecin homéopathe était plutôt content de me voir avec les yeux rouges et la digestion difficile. Il me disait que c’était le résultat de notre travail de ces derniers mois. J’évacuais mes colères d’enfance. Je pouvais cesser de m’inquiéter, c’était normal selon lui. Je me décidai alors à lui passer un coup de fil afin qu’il me donne un diagnostic rassurant et que je puisse me rendre à mes rendez-vous. Comment pouvais-je les annuler ? C’était bien difficile pour moi. Par chance, certains d’entre eux se passaient avec des clientes qui me connaissaient depuis longtemps. Cela me tranquillisait. Je savais que je pouvais en annuler la moitié, au cas où… Je devais cependant recevoir une nouvelle cliente en soin Reiki, qui cherchait à me voir depuis presque deux mois… J’avais honte rien que d’imaginer devoir annuler au dernier moment.

Mais, au téléphone, mon médecin m’ordonna d’aller aux urgences dans la seconde. Mon ami était rassuré de ce conseil. Pour moi, cela signifiait ne pas pouvoir assurer mon travail de la journée. Je téléphonai à mes clientes, dont la gentillesse me fit excessivement plaisir. Elles comprenaient et ne m’en voulaient pas. C’était, en vingt ans de travail, la cinquième ou sixième journée que j’annulais. J’étais encore dans le besoin d’être acceptée par les autres, à cette époque.

Dans les minutes qui suivirent mes appels, je ne voyais plus rien. Je ne pouvais plus garder les yeux ouverts. La lumière m’agressait violemment en permanence. Mes larmes coulaient de plus belle. Je marchais, telle une aveugle, agrippée, d’une main, au bras de mon cher et tendre, et, de l’autre, me protégeant les yeux qui me brûlaient atrocement. En annulant ma journée de travail, je venais de lâcher prise sur mon côté « Terminator » — celui qui se relève toujours après une épreuve et continue quoi qu’il arrive. Je n’avais plus d’autre choix que d’accepter l’aide de mon entourage. Et je me suis souvenue de toutes ces dernières années où, pour des raisons similaires, j’avais continué à tenir la barre, comme un capitaine en pleine tempête qui refuse de quitter le navire. Mon Dieu, personne n’est irremplaçable ! Je vivais ce que beaucoup de mes client(e)s vivent : ne pas savoir s’arrêter, même en cas d’urgence, et continuer coûte que coûte jusqu’au burn-out.

Maltraitée aux urgences (je crois qu’il me fallait cette nouvelle couche pour me rendre compte de la douleur extrême que me faisaient endurer mes yeux), je comprenais enfin, par la force des choses, qu’il était hors de question d’envisager aller travailler ce jour-là.

Je suis revenue chez mon ami ; je n’avais pas d’autre issue que de me mettre dans le noir complet tant la vue de la lumière me brûlait la cornée. Le fait même de bouger les yeux dans leurs orbites me donnait l’impression qu’on me les arrachait. Même les yeux fermés, une faible lumière extérieure, comme l’écran du téléphone ou le voyant de la télévision, provoquait une douleur extrême.

J’avais mal et, en plus, j’étais en colère de ne pas pouvoir travailler, ni en rendez-vous, ni sur mon ordinateur, dans l’impossibilité de faire de la comptabilité ou de répondre aux sms qui s’accumulaient.

Ce deuxième cap a été catastrophique. Plus je m’énervais toute seule, à mesure que la journée passait, plus la situation empirait malgré les gouttes, les antidouleurs et les antibiotiques! Et moi qui avais déjà trop de retard sur mon planning, quinze jours avant mes premières vacances d’été… Quel stress !

Et, soudain, je me suis entendue dire : « Lâche sur ton programme, Marie-Laure ; si tu es malade, il y a une raison. Ton corps a besoin de cela pour te transmettre des messages. Tu travailles sur le corps depuis trois ans avec les autres. Tu l’as bien compris sur tes clients ». La maladie est un autre messager, lorsque notre petite voix intérieure n’a pas été entendue.

Mon mental a fini par capituler. J’ai accepté d’être malade. Je suis restée dans le noir complet, à dormir et à me reposer la tête. J’ai arrêté de penser. J’ai cessé de rechercher des solutions pour agir malgré mon état.

Je n’acceptais pas, jusqu’alors, de me laisser traverser simplement et naturellement par la maladie. Je ne tentais pas non plus de comprendre ce que mon corps essayait de me dire. Ma tête se croyait plus forte. Plus forte que quoi ? La maladie était dans mon corps. Elle était mienne ! Je la possédais en moi, pourquoi étais-je entrain de lutter contre elle ? Je me battais contre moi-même et je ne m’en rendais même pas compte, alors que mon corps cherchait désespérément à me dire quelque chose.

J’ai alors reçu un message d’une cliente qui étudiait la médecine traditionnelle chinoise. Les yeux, m’a-t-elle expliqué, sont très liés au méridien du foie et à l’émotion de la colère. Quand nous avons trop de colères rentrées, cette émotion a une incidence directe sur certaines parties du corps comme le foie et les yeux. Révélation souveraine ! Tout était donc normal. Mon médecin avait raison, j’évacuais les colères. J’en étais arrivée à ne plus vouloir les voir tant il y en avait d’enfouies insidieusement en moi. Et pourtant, je suis une personne spontanée, qui dit tout… Enfin, je croyais fermement que je disais tout, mais c’était sans compter avec mon éducation propre à l’est de la France, où beaucoup de sujets restent tabou dans les familles et où le non-dit est roi.

J’ai donc compris le message et accepté de me reposer. Puis j’ai commencé à pardonner ces colères qui, finalement, étaient tournées contre moi.

Quand j’ai lâché prise sur mon agacement et que je suis entrée dans le pardon, la maladie s’est interrompue en quelques heures. J’ai ressenti une paix profonde et une force qui dépassait la peur de la mort. En quarante-huit heures, la maladie était devenue une amie qui venait me rendre visite pour me parler.

En voyant la violence de ce que j’avais vécu, j’ai compris que la colère en moi était un poison. Si je n’avais pas rencontré mon médecin homéopathe, le cancer du foie aurait pu être la maladie qui serait venue me surprendre, au cours de ma vie, comme elle l’avait fait avec ma grand-mère et avec ma mère. Cette génération de femmes en colère m’avait transmis le syndrome du déni de nos traumatismes d’enfance.

Je me suis entendu penser que « la maladie était une épreuve humaine que notre âme avait choisie » pour nous aider à résoudre de gros paquets enfouis, de vieux karmas, comme disent les balinais.

Et constater à quel point la colère contre quelqu’un ou quelque chose pouvait déclencher autant de souffrances physiques et se terrer aussi longtemps au fond de mes entrailles, m’a bouleversée.

Si nous ne sommes pas suivis par un professionnel pour prendre conscience de tout ce que nous ravalons au quotidien, il est normal que le corps l’expulse un jour sous forme de « maladie » afin de tirer la sonnette d’alarme. La maladie met sous notre nez ce que nous avons à résoudre. Heureusement !

Ma vie avec moins de colère et moins de stress est bien plus agréable aujourd’hui. Je peux en témoigner…

Cette expérience douloureuse m’a montré en quelques jours que j’étais passée par les cinq stades différents que les médecins constatent dans les hôpitaux, à l’annonce d’une maladie irrémédiable. Ces cinq stades, je les retrouve dans tous les changements profonds de l’individu, dans mon travail de coaching avec vous. Je n’ai pu que remercier la maladie de m’avoir montré autant de choses sur le fonctionnement de l’être humain.

Les cinq étapes étaient les suivantes pour moi :

  1. Le déni de la maladie et de ses conséquences sur ma santé et sur mon quotidien.
  2. La colère et la lutte contre la maladie pour l’éviter.
  3. Les compromis pour essayer de faire comme si ce n’était pas grave ni important, et continuer ma vie comme si de rien n’était.
  4. La peur de mourir qui s’installait dans ma tête à l’annonce du diagnostic et de l’évolution que pouvait prendre la maladie, ainsi que la peur, donc, de son aggravation.
  5. L’acceptation et la gratitude envers la maladie pour m’avoir aidée à changer ma vision du monde.

J’ai eu la chance, à travers mon métier de voyante, de voir à quel point la maladie est totalement liée à notre vécu émotionnel. Ces milliers de rendez-vous avec vous me donnent cette chance d’avoir le poids de l’expérience et de vos récits comme preuve irréfutable des messages transmis par les maladies.

J’ai eu une deuxième chance, celle de tomber sur un guérisseur du XXIe siècle qui a confirmé ces constats d’un point de vue médical. Mon généraliste homéopathe ne se contentait pas de me donner des médicaments. Il m’aidait à me guérir en touchant le cœur du problème, à chaque fois, lors de nos échanges. Nous communiquions sur les traumatismes anciens que je croyais cicatrisées parce que je n’y pensais plus… Le nombre de clients que je lui ai envoyés m’a tellement apporté la même confirmation ! …

J’ai eu une troisième chance, celle d’avoir toujours été reliée à mon corps et d’avoir développé une activité professionnelle de relaxologue et de maître enseignant Reiki.

J’ai plaisir, depuis l’adolescence, à sentir mon corps se mouvoir et vivre à travers le stretching, le sport, le Reiki puis la relaxation, ainsi qu’à travers les maladies pendant quelques années. À travers mon accompagnement avec vous, j’ai eu d’autres exemples de cette manifestation naturelle du corps pour exprimer notre mal-être inconscient et nos retenues.

Ces techniques permettent de faire fondre la carapace que nous fabriquons inconsciemment en grandissant pour nous protéger des « attaques » de l’extérieur et pour nous sentir plus à même de nous positionner, sans être bouleversés par les autres ou par les situations du quotidien.

J’ai l’opportunité d’avoir ces différents points de vue pour me rendre compte que la maladie ne survient pas par hasard et qu’elle correspond, pour chacun, à un cheminement bien précis. Encore faut-il réussir à dépasser le déni, la colère, et avoir la foi quand nous nous laissons traverser par cette expérience pour en sortir grandis.

La maladie est une porte qui s’ouvre sur nos résolutions et sur nos dépassements. À nous de la franchir et de regarder nos traumatismes anciens avec bienveillance, ici et maintenant. Nous ne sommes plus des enfants blessés, mais des adultes responsables.

Ne restons pas simplement dans la croyance que c’est la faute à pas de chance. La maladie nous apprend toujours quelque chose sur nous et nous pousse à écouter notre corps. Il sait bien mieux que la tête ce qui est bon pour nous… Et quand nous acceptons cet autre messager qu’est le corps, nous pouvons vieillir en meilleur forme et vivre nos émotions, pour nous sentir vivants jusqu’au bout…

Extrait de L’Abécèdaire de l’accompagnement de l’Etre” par Marie-Laure Staudt

304 pages 22.50€ pour le commander, cliquez ICIcouv-Eiffel

Le jeûne empêcherait les effets secondaires de la chimio

Moi qui suis une adepte du jeûne, cette vidéo m’a passionnée. Cette homme montre l’impact du jeûne sur les effets secondaires de la chimio et sur les cellules cancéreuses…
Ayant vu ma maman jeûner pendant presque 3 semaines avant sa mort, je ne l’ai pas vu du tout souffrir de son cancer du foi et du pancréas…
Je dois avouer que cette vidéo tombe sous le sens. Alors je la partage avec vous!

Une autre vidéo sur le jeûne vu sur ARTE que je vous recommande qui explique bien la détoxication qui se passe en cas de jeûne.

Se soigner autrement sur France5

Une émission à regarder encore pendant 6 jours seulement…

RÉSUMÉ

Depuis les années 70, le rapport à la médecine a beaucoup évolué. Les médecines alternatives, complémentaires ou douces sont devenues un sujet de société. Aujourd’hui, près de 75 % des Français aurait consulté au moins une fois un thérapeute non conventionnel. Des médecins, des thérapeutes et des patients témoignent, et leur parole permet de comprendre pourquoi, de plus en plus, la médecine officielle s’ouvre à ces approches différentes. Se soigner autrement : est-ce un effet de mode ou le signe d’un changement de société ? Par-delà des actes parfois irresponsables, se dessine en effet une manière différente d’appréhender le soin et le corps.

AUTRES

  • Nicolas Maupied / Réalisateur
  • Emmanuelle Nobécourt / Réalisateur
  • Nicolas Maupied / Auteur
  • Emmanuelle Nobécourt / Auteur

Sur FRANCE 5, c’est ICI

 

Rediffusion le 12 juin 2015!EMI_583420

Plus d’inquiétude face à des prises de poids

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La prise de poids

Depuis mes18 mois de crudivorisme à 85%, quand je dérive vers une ancienne alimentation (les vieux schémas ont la vie dures), je grossis immédiatement.

Je peux prendre 2 à 3 kgs dans une semaine.

Je ne m’affole plus je sais que dès que je reviens à une alimentation cru, je perds ces kilogrammes superflus dans les deux à trois jours qui suivent.

Cela c’est vraiment le premier bon point du cru quand on est une fille. Nous ne nous penons plus la tête sur notre poids. Nous avons une sérénité de fond et un rapport normal avec notre balance…

La deuxième chose géniale (mais qui est plus embêtante), c’est que nous ne pouvons plus supporter longtemps de manger n’importe quoi… Gâteau, viande, produit laitier, pain, au bout de quelques jours, nous ressentons la difficulté de digérer ces aliment. Que ce soit par un estomac lourd ou par les intestins irrités, c’est tellement différent d’une digestion d’aliments crus que c’est facile de s’arrêter de manger n’importe quoi. Et là c’est une grande victoire quand nous savons à quel point la nourriture nous remplie et sert souvent de doudou …

Du coup la prise de poids ne s’élève jamais à plus de 2 à 3 kgs en plus. La perte est immédiate ensuite au retour vers le cru.

La perte de poids pour une posture plus agréable au quotidien

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Je ressens de plus en plus mon corps et je me rends compte que plus mince, je me sens plus à l’aise dans ma vie quotidienne pour tout un tas de raisons, dont la première est un meilleur fonctionnement du corps et une sensation agréable dans les jambes, les hanches et le dos. Je n’ai plus l’impression de porter la terre sur nos épaules.

Quand je marche ou monte des escaliers, j’ai plus de pêche et je me porte beaucoup moins. Mes jambes et mon dos me remercient…

En plus je rentrer mieux dans toute ma garde robe…

Mes remarques

  • Dès que je mange du pain ou des féculents, je gonfle immédiatement et cela est spectaculaire par ce qu’à l’inverse du jour où j’arrête le pain, dans les 3 jours qui suivent je dégonfle considérablement. J’ai un v entre plat avec le cru. C’est incroyable.
  • Quand je mange de la viande je suis fatiguée dans les deux heures qui suivent le repas et mon ventre n’est pas très à l’aise, irrité, comme enflammé, il peut gonfler aussi.

Manger bio, décidément bon pour le corps

En seulement deux semaines, cette famille suédoise a vu drastiquement baisser les taux de pesticides présents dans ses urines. Une étude menée par Coop, une chaîne suédoise d’épiceries coopératives.

7807367-12104887Pour voir le reportage sur MetaTV cliquez ICI

Et surtout ayez ce réflexe de consommer bio, en commençant par le sucre, les farines, les pâtes et le riz… Le reste suivra….

 

Un médecin autrement

Docteur Willem, un médecin autrement

Pas toujours facile de comprendre comment notre corps fonctionne. Et pourtant quand nous réalisons la complexité et la logique de son mécanisme, nous agissons forcément différemment.

Le Docteur Jean-Pierre Willem sait expliquer avec une facilité les méandres de tous nos systèmes avec une connaissance que je n’ai jamais trouvée chez un autre médecin ou professeur. Chapeau bas et merci à ce grand homme que je vous propose de découvrir à travers cette courte vidéo..
A ré-écouter sans modération…

Comment manger sain?

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C’est difficile avec notre vie citadine, notre planning professionnel et personnels bien chargés, de manger sainement.

Quand nous sommes bouleversés émotionnellement, nous les femmes surtout, nous avons le réflexe de nous jeter sur la nourriture…

Alors comment  réussir à manger correctement le plus souvent possible au quotidien à notre époque où l’agro-alimentaire est devenu une manne financière pou des hommes d’affaires peu scrupuleux ?
Voici les astuces que j’applique pour moi et que je transmets autour de moi le plus possible.

Mes astuces pour manger sainement

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    Je n’achète que de bons produits naturels pour ma maison, bio le plus souvent possible.
  2. J’ai toujours sous la main des fruits, pomme banane et fruits secs amande abricot, figues, noisette pour grignoter facile et sain si j’ai faim ou besoin de me remplir…
  3. Je mange des crudités à chaque début de repas.
  4. Je cuisine mes plats, sans cuire au beurre, en respectant une cuisson douce pour ne pas tuer toutes les vitamines de mes aliments.
  5. J’évite les laitages, à l’exception parfois de fromage de chèvre et de brebis.
  6. Je n’achète pas de gâteaux industriels, pas de bonbons chimiques (adieu les fraises tagada !) ni de Nutella ou de chips.
  7. Je ne consomme pas de sucre, de farine ou de pâtes blanches et raffinés
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    Si j’ai besoin de calmer une émotion, j’ai toujours du chocolat noir (si possible cru) dans mon frigo…
  9. J’élimine les desserts de mes repas. Finir avec du sucré est juste incohérent pour ma digestion. Je préfère manger un fruit en début de repas.
  10. Je cherche des petits boutiques autour de chez moi qui respectent les consommateurs pour leur acheter mes produits. Je repère dans les marchés les bons petits  producteurs de légumes et fruits de saison. Je suis sure qu’ils seront meilleur parce que  poussés dans la terre et non élevés en serre comme les fraises en hiver du supermarché.
  11. J’achète tout dans une boutique bio, je serai moins tenté de remplir mon caddie de cochonnerie.
  12. Je m’informe autour de moi ou sur internet sur le fonctionnement du corps, si la manière d’élever le bétail, de faire pousser les céréales…
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    Je m’abonne à des sites qui parlent de l’alimentation et du corps. Je suis leur discours sur plusieurs mois pour me faire une idée et suivre l’expérience de quelqu’un. J’aiguise mon discernement.
  14. Je prends plaisir à penser les plats que j’ai envie de me préparer qui ne vont pas me prendre des heures de préparation. J’ai toujours dans mon frigo de quoi me faire vite une salade.
  15. J’ai toujours des herbes aromatiques (estragon, coriandre, basilique, thym…) dans mon frigo. Je développe mes sens et mon palais.
  16. J’apprends des recettes simples et faciles qui plairont à toute la famille
  17. J’ai toujours chez moi des bananes, des pommes, des citrons et des amandes.
  18. Je veille à ne pas trop charger mon estomac le soir avant d’aller me coucher.
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    Quand je mange du sucre, je sais que derrière je vais avoir une activité intense, sinon je m’abstiens parce que ce sucre va se poser immédiatement sur mes hanches si je ne l’utilise pas tout de suite.
  20. Je m’interroge à chaque fois que je mange si j’ai envie de mettre dans mon ventre l’aliment qui est dans mon assiette.
  21. Je mastique à fond mes aliments. Du coup je mange moins en quantité.
  22. Et surtout, j’essaye de  ne mange que lorsque j’ai faim!

Bilan cru 3 de semaines de vacances au paradis

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Alors le cru au paradis du fruit?

À Bali je me suis fait masser un jour sur deux.

J’ai nagé, marché et fait 1h30 de sport yoga tous les matins. Nous avons fait ensemble des échanges reiki et nous nous sommes faits masser un jour sur deux…

Nous avons mangé plutôt sainement. J’ai commencé les 4 ou 5 premiers jours à manger comme les participants du séjour. Je ne voulais pas me mettre à part à travers mon alimentation. Alors j’ai pris des œufs le matin au petit déj, des fruits et parfois des crêpes mêmes ou leur riz noir au lait de coco.
Bon je ne suis pas passé au café tout de même et j’ai vite réussi à avoir mon eau chaude et mon jus de citron pour commencer le matin, une heure au moins avant de manger…

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Au bout d’une semaine, c’étaient les participants eux mêmes qui choisissaient de manger des fruits et un jus une fois sur deux, c’était mignon.
Nous avons même expérimenté une journée entière que des jus de fruits ou de légumes, tout le monde à eu envie , ce n’était pas obligatoire et nous nous sommes sentis super bien, légers, en forme. C’était chouette.

Vivement le prochain séjour…

Trouver le calme intérieur par David Servan-Schreiber

Trouver le calme intérieur par David Servan-Schreiber

David Servan-Schreiber a ouvert une porte dans ce nouveau siècle, sur notre capacité à nous guérir autrement.

Je l’ai béni à l’époque. Enfin un médecin qui osait dire au monde que l’alimentation, la méditation, la respiration, le repos, le sport jouaient beaucoup sur notre santé moral et physique. Enfin quelqu’un qui proposait d’autres solutions que de se bourrer de médicaments.

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Il a écrit dans la foulé un second livre « ANTICANCER » et le dernier sur lequel je suis tombée par hasard en 2013. J’ai ouvert ce livre au hasard comme je le fais à chaque fois avec un nouveau livre. Encore une fois ce message  m’a poussé à insister sur le besoin de repos, de sommeil, de relaxation, de sport pour revenir à soi et être heureux (pour résumer).

Voici ce que j’y ai lu:

« J’ai souvent déclaré que je pratiquais tout ce que je recommande dans « Anticancer » c’est vrai dans l’ensemble, sauf sur un point : en m’imposant un rythme de travail harrassant et au total excessif, je n’ai pas assez pris soin de moi, et ce depuis des années. (…) Avec le recul, je pense que j’étais animé par une envie très humaine d’oublier ma condition, de me sentir « normal », de mener ma vie « comme tout le monde ». Je crois surtout que je me suis laissé aller à une sorte de péché d’orgueil, car j’en étais venu à me sentir quasi invulnérable. (…) Alors qu’il fallait rester humble, j’ai commis l’erreur de croire que j’avais trouvé la martingale gagnante, celle qui me permettait de demeurer en bonne santé tout en me donnant à fond aux projets qui me passionnaient. J’ai eu la faiblesse de croire que j’étais protégé du seul fait que je respectais un certain nombre de précautions: je surveillais ma nourriture, je me déplaçais quotidiennement à vélo, je méditais un peu et faisais un peu de yoga chaque jour. J’ai cru que cela me donnait toute licence pour ignorer des besoins fondamentaux de mon organisme, comme le sommeil, des rythmes réguliers et du repos. (…) Je crois qu’on peut tirer légitiment des leçons de ma mésaventure: il ne faut pas s’épuiser, il ne faut pas se surmener. Une des protections les plus importantes contre le cancer consiste à trouver un certain calme intérieur.

(…) Pour ma part, je n’ai pas réussi à trouver ce calme, et aujourd’hui je le regrette. Je n’ai pas su rester proche de la nature et des rythmes naturels. Je suis intimement persuadé que la fréquentation d’un bois, d’une montagne, d’un rivage apporte quelque chose de formidablement ressourçant, peut-être parce qu’elle nous permet de nous caler sur le rythme des saisons, ce qui doit contribuer à l’équiloibre et à la guérison de l’organisme. Je ne connais pas d’études scientifiques qui étayent cette intuition. Mais l’idée que l’harmonie avec la nature soit un moyen de nourrir la santé du corps est cohérente avec toute une série de vérité établies. »

20 pages plus loin, il écrira qu’il ne regrette pas et que si c’était à refaire en sachant à l’avance que son fonctionnement l’amènerait « vers cette rechute, avec cette fois une tumeur plus agressive », il ferait la même chose.

Je me suis dit à l’époque:

« Dis donc Marie-Lore, c’est quoi l’effet miroir à la lecture de tout ça pour toi? Que continues-tu à faire en sachant la gravité de la situation? Quelles erreurs as-tu du mal à reconnaître? »

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Et là je n’avais qu’à écouter mon ventre qui me torturait et me disait de changer mon alimentation depuis des mois, que j’écoutais épisodiquement. Si je ne me remettais pas en question sur ce sujet, je saivais que j’allais m’en vouloir longtemps. Et je n’avais surtout plus envie d’être en colère contre moi et je souhaitais plutôt profondément rester et être dans la douceur de plus en plus.

Alors manger cru aujourd’hui en est la juste suite…

 Pourquoi est-on si dur avec soi? Pourquoi a-ton autant de mal à se poser, se détendre, à trouver ce calme intérieur? Pourquoi est-ce si difficile de se reconnaître qu’on a fait des erreurs???

David, merci.